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INURAR-NOUADER , Village des Aurès - Sur les pas de Germaine Tillion

- Tel qu'il se présente, votre travail me passionne,...Il s'agit d'un témoignage en direct, éclairé par des
documents et non d'un récit plus ou moins remanié "- (Michel Lambart, ancien Directeur pédagogique de Hachette en Algérie)
Il n’y a pas de meilleur guide que Nelly Forget, qui a engendrer méfiance et contrainte, peur et hostilité, soupçon et dissimulation.Aucun cliché n’apparaît pris à la dérobée. Tous les sujets sont pris frontalement, regardant sans gêne ceui qui les "mitraille", prenant quelquefois la pose ce qui a été indispensable pour les croquis et dessins qui complètent la collection et offrant le plus souvent un large sourire , celui de la confiance,
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Nous sommes à Zouggara en Kabylie, pendant la décennie noire, Saïda, l’enfant rieuse, insouciante et brillante universitaire, y vit avec sa famille dont son frère aîné, alias Abu Moussaab.
Etant à la tête d’une katiba de dix-huit hommes, ce dernier est l’émir de la région.
Quelle famille kabyle n’a pas connu une situation semblable dans les années 1990 ?
Au décès de sa maman l’ayant toujours protégée de l’influence de son frère, Saïda est contrainte par celui-ci d’arrêter ses études.
Déchirée par des circonstances sociales, culturelles et religieuses, elle est obligée de vivre des situations qu’elle n’a pas choisies.
L’horreur de la nuit de noce et ses séquelles psychologiques, un sujet tabou et d’actualité. Le patriarcat et le matriarcat. Les mutations sociétales. L’influence de la société sur l’être humain. La dépendance. Les lumières obscurcies et les rêves renouvelés…
Il y a dans ce livre beaucoup de résignation, de douleurs et de couleurs, à l’image de ce mariage forcé quand son frère décida de la marier à l’émir régional.
Emportée par les couleurs de son destin, elle bascule d’une histoire dramatique vers une autre, jusqu’à atterrir clandestinement à Paris...
1er livre édité par la nouvelle maison d'édition TUMAST.TAZRIGT.AMAZIGH
Couverture : Mohand Guettaf.
Photographie de Couverture : HAMMACHE Sadek
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VENDU EN FRANCE et dans tous les pays acceptant le système PAYPAL.
Avant même que tamazight n’ait eu une quelconque reconnaissance, farid s’est initié à la linguistique et à la langue amazighs. parallèlement à son travail d’enseignant, pourtant très prenant, il n’a cessé de rechercher les traces du pays réel “Tamazgha” , mis aux oubliettes de l’histoire. Un pays dont on peut, à juste titre, s’enorgueillir quand on sait l’importance de l’apport du monde dit berbère à la culture et au savoir universel. Si l’outil linguistique permet de faire évoluer tamazight, il reste qu’il faut beaucoup de travail scientifique, beaucoup de temps et beaucoup d’argent pour faire évoluer une langue qui a toujours souffert d’ostracisme. C’est en ce sens que le travail accompli par farid RABIA mérite du respect. Le sujet qu’il a abordé, naturellement de par sa profession,pose la problématique de la terminologie et de l’évolution de la langue qui doit épouser les réalités du moment. La numérisation est un élément important dont on ne peut pas faire l’économie. Nos frères Marocains y ont réfléchi mais il était aussi utile qu’il y ait une voix Algérienne. Farid Rabia a ce mérite d’avoir comblé une lacune. Il est évident que la concertation sortira la solution car en aucuncas Marocains et Algériens ne doivent diverger. Un travail passionnant pour un passionné qui n’a pas arrêté d’écrire depuis des années sur des questions qui touchent à l’avancée de la langue amazigh. Un travail continu qui lui a valu plusieurs prix honorifiques .
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