Un récit presque imaginaire Imprimer

Pour se protéger du froid, Na Aicha poussa  la porte entrouverte, puis continua à raconter avec ferveur la suite de l'histoire. - "En effet, personne ne pouvait dire s'il respirait encore ou si tout s'est arrêté pour lui. Dans cet endroit isolé, qui donnait sur le village qu'Antar ne pouvait imaginer.

Perchés  comme des vigiles dans ce  hameau, les jeunes les plus attentifs qui réagissaient  généralement aux moindres bruits, intervinrent rapidement.

Ainsi les villageois n'ont pas  hésité à prospecter les lieux pour élucider le mystère de ce soir révélé par une sorte d'effondrement en pleine nature. En effet les Montagnards repéraient facilement les  personnes et les empreintes d'animaux sauvages grâce aux traces indiscrètes laissées sur la poudreuse. Dans cette forêt de montagne enneigée, déserte, des trous  profonds apparaissaient sur la route comme des tâches d'encre sur une feuille blanche et à quelques mètres, une chéchia et un sac abandonnés..."

 

 


frais envoi partagés
frais envoi partagés
 
Partager cet article